30.3.10

Là, ça me rentre dedans. Tout. Tout depuis 2 mois qui va tout croche. Je n'ai pas de chez moi. Non, je ne suis pas à la rue mais tout de même, nulle part ou je me sent à l'aise. Je sent que ma vie se tempère au rythmes des humeurs des autres. I would like to feel at home. Without having to wonder who I am hurting, who I am bothering. I would like to run away, I know it's a bit cliché, but seriously. Je suis là en train de vagabonder d'une maison à l'autre, en train d'essayer d'aller à l'école entre les joints qui me font pas, les soirées qui se prolongent trop longtemps dans la nuit, le scotch. Entre un tel et un tel. J'ai 22 ans et je sent la pression immense d'être responsable du bonheur de deux êtres vivants. Je ne peux m'en détacher. J'ai 22 ans et je dis encore que j'ai 21, parce que je n'ai pas eu le temps, émotivement, de vivre mon anniversaire. J'ai 22 ans et j'ai pas encore digéré ma seconde plus grand peine d'amour.

Here is the deal, I married a guy, a mexican, I learned his language and encurraged him for a year and a half. Même si il ne me rendait pas concrètement mon affection, car, disons-le, j'en ai besoin de beaucoup, plus que la normale, je continuais à l'épauler. Je l'aimais, je voulais voyager avec lui, je voulais avoir des bébés à un âge innaproprié. Je voulais m'occupper de lui et qu'il s'occuppe de moi, que ce soit nous deux, et le monde.

I am like a sick child.

But he left me twice. I waited, for a month, until he was ready. I barried my sadness and forgave him. So he left me again. I know, just now, I feel it all.

2 commentaires:

L'islandaise a dit…

http://www.youtube.com/watch?v=l-iAS18rv68

amour

El Piment a dit…

Exactement.