25.1.10

ICH BIN EWIG

Tout va trop vite. Vraiment. Je continue à me surprendre des tournures que prennent les événements dans ma vie. Il y a tant de choses à dire. Je me retrouve dépourvue d'homme, lundi passé. Comme ça, c'est fini. Je me dis : Ha oui? Encore? Fini, pas clair, désir et frustration durant quelques jours. Ensuite j'apprend, la seconde plus grande nouvelle de ma vie, qui vient tout relativiser. Je ne sais pas quoi faire de ma vie, on s'en fout, je ne suis plus avec mon copain qui est toutefois toujours mon époux, on s'en fout, je n'ai pas confiance en moi, on s'en fout. On s'en fout parce que ce que j'apprend rassemble tout ça, le mélange dans un gros potage, et le rend presque alléchant, par comparaison. À ce qui parait, selon ma professionnelle, je suis limitée. Pas mal limitée. Je sais, c'est pas clair. 

Bang. Un gentil garçon avec un accent séduisant me tombe dessus. Je me sent comme une adolescente depuis 4 jours. Oui, encore une fois, je suis prise dans le tourbillon éternel d'actions, mes actions, violentes et spontanée. C'est quasiment comme si je me fouettais les neurones avec des impulsions. Yo la tengo me rempli la tête. Je rempli mon propre coeur. Des choses qui me manquaient...Le rêve, le monde, le vin, la passion, la peur, saine, et stimulante, le courage que je retrouve à chaque fois que je redeviens funambule.

C'est une pathologie.

Es asi que me gusta vivir. Habia dejado mi coranzon de niña demaciado lejos.

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